"Olonne" le premier nom de Saint-Dizier était une petite agglomération située au confluent de la Marne et de l'Ornel, au pied du Castrum Gallo-Romain : site défensif qui protégeait les habitants contre les Barbares. C'est l'ancien quartier de La Noue.
Au IXème siècle sous Charlemagne, Gigny s'unit à la ville qui portera le nom de Saint-Dizier, quelques dizaines d'années plus tard.
Dès la fin du Moyen Âge, on trouvait les boutiquiers et artisans dans la zone centrale (bourgeoise) de la ville, à l'ouest, les bateliers et brêleurs du hameau de La Noue, à l'est, les forgerons et vignerons de Gigny. La Marne devenait navigable en aval de la ville et faisait de Saint-Dizier un centre commercial important. |
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La première forge de Saint-Dizier fut installée à la place de l'hôpital spécialisé, par Gillet Bonnemire en 1450. La deuxième au Clos Mortier.
En 1943 elle devient sous préfecture dans l'arrondissement de Wassy…
Grâce à une forte explosion démographique, due à la diversité et l'importance des industries, (comme la Compagnie Internationale des Machines Agricoles en 1950) elle sera bientôt la plus grande ville du département avec près de 38000h.
Les tours du Vert Bois voient le jour à partir de 1952. |
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Actuellement, la politique urbaine développe le grand projet de ville et rattrape son retard, aménagements (du réseau routier...), extensions (centre commercial du Chêne Saint-Amand...), constructions (du centre nautique...), valorisations (du centre ville et des rues commerçantes...), transformations (de la friche Miko, du Pré moinot...) entre autres… la ville devient coquette.
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Les domaines culturels associatifs, économiques, pôle emploi, formation, sportifs avec bien entendu le Tour de France, font également partie des priorités.
À Saint-Dizier, il y fait bon vivre... |
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